Sylvie Guinard : Thimmonier, l’industrie du futur, l’apprentissage, …

 En quoi Thimonnier est une Industrie du Futur ?

Nous souhaitons faire passer notre joyau d’excellence technique à l’excellence organisationnelle et opérationnelle. Dans ce but, nous utilisons depuis plus de 20 ans un ERP qui rend l’information unique « attrapable » par tous les collaborateurs. Les ateliers de production peuvent se connecter en temps réel sur les données numériques 3D du bureau d’études. Nos machines, mécatroniques, sont elles-mêmes connectées et nous font remonter des informations alimentant une optimisation de la maintenance et des évolutions. Nous interagissons aussi avec nos clients et nos fournisseurs et même avec les écoles et les centres de recherche ! La chaîne de valeur entière se numérise !

L’utilisation de nouveaux outils de conceptualisation comme la réalité virtuelle nous permettra de créer des jumeaux numériques qui valident l’ensemble des innovations en temps réel et permettent d’utiliser la réalité augmentée ou virtuelle. La fabrication additive facilite et accélère le prototypage.

Sur le salon Industrie Lyon, vous intervenez à une table ronde sur la place de l’Homme dans l’industrie du futur. Quels sont vos principaux messages  ?

L’industrie du futur est une industrie connectée capable de concevoir et fabriquer un produit complexe et personnalisé. L’homme et la femme participent à cette nouvelle excellence qui encourage la créativité et la montée en compétence. Thimonnier investit par exemple, tous les ans 2500 à 3000 h de formation. Mon 1er message est qu’ils sont au cœur de l’industrie du futur et que la formation des collaborateurs est une priorité !

Les apprentissages ont évolué et l’enjeu pour les jeunes est « de ne pas perdre le sens critique mécanique » et ses savoir-faire et expertises manuels.

Il est important pour notre profession d’amener les « digital native dans les entreprises » et de les raccrocher aux besoins mécaniciens. Mon 2ème message est que notre profession doit recréer des filières d’excellence en France pour ces métiers en devenir !

THIMONNIER en chiffres 

  • CA 2016 : 15 millions € dont 70 à 85% à l’export dans 150 pays
  •  78 salariés
  • 15% du chiffre d’affaires réinvesti dans la R&D
  • 3 000 machines en fonctionnement

Récompenses

  • Trophée Transmission femme en action 2011
  • Trophée Finance du Programme PME 2013
  • Trophée national de l’Industrie 2013
  • Trophée Export de PME Bougeons-nous 2015
  • Trophée Innovation des Coups de coeur de l’Eco 2016

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ERCI PAYAN BOSCH REXROTH

Projet 4.0 : BOSCH REXROTH multiplie ses réflexions

L’objectif de l’atelier était de mettre en relief des expériences d’entreprises qui ont engagé des projets 4.0 avec un impact fort sur la compétitivité et l’image de l’entreprise.

« Pour BOSCH REXROTH, l’enjeu de la démarche est de rester dans le peloton de tête, c’est une question de survie.

Pour lancer la démarche, nous avons organisé des ateliers de réflexion avec un grand nombre de collaborateurs dans le but de faire émerger des idées, dont dix ont été retenues. Une personne dénommée « sponsor » est chargée de faire grandir une idée pour qu’elle devienne un projet, puis une application, si sa pertinence est démontrée.

Par exemple, une idée était de réduire l’importance du papier dans les processus. Elle a débouché sur 2 applications : l’affichage des indicateurs de production dans l’atelier sur de grands écrans plutôt que sur du papier et le remplacement d’étiquettes classiques par des tags RFID.

Cette seconde application allait permettre d’apporter sur un produit une traçabilité électronique intégrée à tous les stades de la supply chain, depuis les fournisseurs en amont à la livraison du client en aval. Pour mettre en œuvre cette application BOSCH REXROTH fait appel à la société CIRLY en lien avec l’Ecole Centrale de Lyon.

Une autre idée a été d’améliorer le contrôle qualité visuel des pièces. En l’espace de 7 mois, l’idée a grandi et s’est transformée dans un projet dénommé SmartEyes, désormais opérationnel et permettant de diminuer de 80% le temps consacré au controle, tout en augmentant la traçabilité. »

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Adrien Zanetti

La simulation numérique au coeur des futurs projets d’Alstom

L’objectif de l’atelier était de montrer que la simulation détermine l’amélioration de la compétitivité des entreprises.

« ALSTOM, dans le cadre du développement des systèmes électroniques ferroviaires telles que des balises et des antennes, utilise la simulation numérique pour en optimiser la performance (optimisation du compromis rayonnement-poids-robustesse).

La simulation est de plus une vraie opportunité pour développer la réactivité de l’entreprise. La phase essai est évidemment plus courte : pour nous, 25 heures de simulation ont permis d’éviter au minimum une semaine de test sur site client.

Les 3 bénéfices majeurs de la simulation sont pour nous : la réduction des délais de développement autrement dit le « time to market », l’amélioration de la performance des produits et l’optimisation des essais ».

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Maxime Frachon

Cirly se lance vers l’industrie du futur

L’objectif de l’atelier était de mettre en relief des expériences d’entreprises qui ont engagé des projets 4.0 avec un impact fort sur la compétitivité et l’image d’entreprise.

Pour Cirly, fabricant de circuits imprimés, les premiers pas vers l’industrie du futur ont commencés en 2014 en capitalisant sur un projet d’innovation orienté « objet connecté ». L’entreprise a développé diverses applications numériques en coopération avec l’Ecole Centrale de Lyon qui visent à fluidifer les flux d’informations. La démarche se construit autour d’expérimentations ajustées en fonction des retours du terrain : après quelques mois, plusieurs applications sont opérationnelles, et s’organisent autour d’une vision d’usine digitalisée au service des équipes internes et des clients.

Par exemple, des applications simples ont été développées pour afficher en temps réel dans l’atelier les informations dont disposent les méthodes, ou gérer les audits 5S à partir de tablettes avec un gain immédiat dans l’organisation de la production. Pour la maintenance du parc machine, une application mobile permet d’historiser les interventions grâce à des photos prises avec un smartphone.

L’usine digtalisée Cirly se construit donc par petits pas. L’entreprise est montée en compétence, a intégré de nouveaux talents et développe de nouvelles activités. La société a été accompagnée dans sa démarche d’innovation par UIMM LYON-FRANCE (programme IDEE). Aujourd’hui, Cirly intègre totalement le numérique dans son plan stratégique de développement.

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matinale innovation 08062016

Chiche j’innove ! La Matinale Innovation organisée par METALLURGIE rhodanienne et le MEDEF Lyon Rhône

Chiche j'innove matinale innovation 08062016

Une matinale pour promouvoir l’innovation

 

La rencontre avait pour but de faire témoigner les acteurs engagés dans une démarche d’innovation. Les participants ont retenu 4 messages principaux :

  • L’innovation n’est pas réservée qu’aux start-up
  • Il n’existe pas qu’un seul modèle d’innovation
  • Innover c’est anticiper son business de demain
  • Etre accompagné et conseillé pour bien réussir son projet

 

 

 

ARIANE AIRBUS

ARIANE 6 : Des innovations à tous les étages !

ARIANE 6 AIRBUS

De nouvelles méthodes de production

Une des nombreuses innovations d’Ariane 6 est le recours à la fabrication additive, technique désormais présente dans tous les secteurs des industries technologiques. La production des petites pièces complexes à usiner, comme par exemple celles utilisées sur les éléments de moteur à propulsion liquide, ne prend ainsi plus que quelques jours, au lieu de plusieurs mois.

Le constructeur européen inaugure aussi une nouvelle configuration de travail, véritable innovation par rapport à Ariane 5. Les équipes d’assembleurs travaillent désormais sur le lanceur disposé à l’horizontale : une révolution ! Auparavant, les ingénieurs bâtissaient de véritables cathédrales autour du lanceur, élevé verticalement.

 

Des performances optimisées

Entre autres améliorations sur la propulsion, le moteur de la fusée s’allumera désormais par le sol : il n’y aura donc plus d’allumeur dans le lanceur, un gain de poids et d’espace non négligeable.

Ces multiples innovations feront la différence : Ariane 6 pourra transporter dans l’espace des objets deux fois plus lourds et volumineux que son concurrent SpaceX, pour un coût deux fois moins élevé !

Martin Villeneuve

Vendre à l’international : le Président de Distech Controls partage son expérience

Quelle a été la stratégie de développement de Distech Controls?

Distech Controls s’est implanté en Europe en 2010 en rachetant la société française COMTECH qui réalisait l’essentiel de son chiffre d’affaires en marque blanche depuis le site de Brindas.

Nous avons fait le choix de ne pas vendre en direct et nous avons développé un réseau d’intégrateurs officiels externe pour vendre et intégrer les solutions innovantes Distech Controls en Europe et en Afrique. Notre chiffre d’affaires a progressé de 20% par an depuis 2010.

Tous nos produits sont fabriqués à Brindas ou à Montréal. Nos fournisseurs sont locaux, principalement des fabricants de cartes électroniques et des plasturgistes.

Nous sommes présents dans plus de 45 pays et nous avons plus de 250 clients intégrateurs indépendants qui intègrent nos solutions et nos systèmes d’automatisation du bâtiment.

Nous ne nous sommes pas posé la question de savoir par quel pays commencer, ou s’il était nécessaire de consolider nos positions dans un pays avant d’attaquer un nouveau marché.

Nous avons donc participé aux grands salons d’affaires européens, comme le Light + Building à Francfort en Allemagne. Nous y avons rencontré nos premiers clients intégrateurs. Ce sont des spécialistes du contrôle de la CVC (Chauffage, Ventilation et Climatisation), ils conseillent les propriétaires immobiliers et travaillent en lien avec les bureaux d’études dans la conception et l’intégration des systèmes de gestion de l’énergie.

Nous avons saisi toutes les opportunités, sans filtre par rapport au pays d’origine. Les embauches ont suivi, avec des collaborateurs très ouverts à l’international. Distech Controls SAS emploie aujourd’hui 75 salariés à Brindas.

Quelles ont été les principales difficultés ?

Il y a 5 ans, notre marque n’était pas connue en Europe. Les intégrateurs faisaient un pari en proposant nos produits. En cas de défaillance, il est toujours plus facile de défendre le choix  d’un fournisseur mondialement connu et leader sur le marché. Nous avons donc développé une vision marketing afin de travailler sur l’image et la notoriété de la marque.

Nous servons des clients dans toute l’Europe et en Afrique. Les différences culturelles entre les pays sont très importantes.

Avec près de 10 embauches par an, la question du développement depuis la France s’est naturellement posée. Mais avec le recul, nous aurions eu les mêmes difficultés si notre siège était par exemple en Grande Bretagne. Nous avons choisi de travailler avec une plateforme de services supports unique plutôt que de créer des entités dans chaque pays. Au siège, les collaborateurs sont proches et le management est plus efficace.

 

Comment évoluent les marchés de Distech Controls ?

Notre activité est portée par le besoin de réaliser des économies d’énergies de part les évolutions de normes et de réglementations en vigueur ainsi que la nécessité pour les investisseurs immobiliers de gérer et rentabiliser leur bâtiment.

Distech Controls propose bien plus que des produits; nous pensons « solutions’’ et intégrons une notion de services et d’outils qui font de nos produits des solutions complètes et adaptables aux besoins selon les applications. Nos valeurs d’entreprise nous poussent à viser l’excellence pour obtenir la satisfaction de nos clients.

Le ‘’Made in France’’ est également un gage de pérennité et de fiabilité de nos produits et certains marchés, tel que l’Italie, en sont très demandeurs. Enfin, certains marchés sont très protectionnistes. Le marché allemand en est un bon exemple, il est très exigeant techniquement et nous demande de nous adapter. Mais, il nous offre des opportunités de développement sur d’autres pays limitrophes pour lesquels le niveau de technicité allemand reste une référence.

Dans le bâtiment les acteurs sont mondiaux. Notre choix de ne pas vendre en direct et, de privilégier un réseau d’intégrateurs officiels non exclusifs nous confère une très grande agilité sur nos marchés. Nos clients nous poussent à être toujours plus innovants. Nous investissons énormément en R&D.

Concrètement, comment les évolutions technologiques impactent-elles Distech Controls?

Je suis dans l’automatisation depuis 20 ans, nous vivons un énorme bouleversement technologique avec l’Internet of Things (IoT).

En 2015, Distech Controls a rejoint le groupe Acuity Brands, un acteur majeur de l’éclairage en Amérique. Grâce aux composants intelligents, nos technologies associées nous offrent de nouvelles opportunités de développement et modifient considérablement notre manière de travailler.

Nos solutions permettent aux exploitants des bâtiments de communiquer directement avec leurs clients ou utilisateurs. Concrètement, les interlocuteurs changent : les responsables marketing sont désormais associés avec les techniciens au choix des équipements.

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MGA Technologies exporte 50% de ses fabrications

Hervé de MalliardQuel est le métier de MGA Technologies ?

MGA Technologies met en œuvre 3 compétences principales pour servir ses clients : conception mécanique et intégration de technologies, montage et mise au point et, enfin, une compétence en automatisation et robotique.

Notre métier, celui de concevoir et fabriquer des machines spéciales, est complexe. Chaque nouveau projet est porteur de nouveaux risques techniques et requiert une ingénierie particulière.

 

Les clients de l’entreprise nous demandent de concevoir et réaliser une machine et surtout de la faire fonctionner ! J’ai coutume de dire : «Rassurez-vous ça ne marche jamais, mais… c’est notre métier de la faire fonctionner ».

Nos équipes imaginent et conçoivent les principes de la machine. Ensuite ils la réalisent et alors, ils s’attachent à résoudre tous les problèmes techniques jusqu’à obtenir une machine fiable et robuste, qui marche très bien ! Bien sûr, la relation avec le client est fondamentale. Ensemble, autour de la machine, nous trouvons des solutions aux problèmes rencontrés.

C’est notre humilité et notre attitude face aux difficultés techniques qui fait notre force. Notre slogan pourrait être : « réussir ensemble » !

Vous avez repris l’entreprise en 2010, quelle a été votre stratégie de développement ?

L’entreprise a été créée en 1980, elle bénéficiait d’une très bonne notoriété et, son activité était saine lorsque je l’ai reprise. Mais la conception et la fabrication de machines spéciales est un métier dont le risque technique est élevé. Nous avons donc pris en compte la gestion de ce risque spécifique dans notre stratégie de développement.

  • Nous avons fait le choix d’augmenter notre technicité pour répondre aux besoins des industries dont le niveau de contraintes est particulièrement élevé. MGA Technologies est reconnue, par exemple dans les industries pharmaceutiques et médicales.
  • Nous avons également décidé de diversifier nos affaires, en développant des activités moins porteuses de risques techniques. Nous avons lancé 2 nouvelles activités. Nous intervenons dans la sous-traitance de réalisation de machines standards, pour lesquelles les risques techniques sont par définition faibles. D’autre part, nous avons créé une activité de produits en propre sur des marchés de niches. Cette dernière nous permet de capitaliser les savoir-faire de l’entreprise auprès d’une clientèle ciblée. Nous sommes aussi dans une dynamique de croissance externe sur cette 3ème activité.
  • Enfin, nous nous développons à l’international. Mes précédentes expériences professionnelles m’ont permis d’acquérir une forte culture des marchés « export » et notre savoir-faire nous offre l’opportunité de créer de la valeur en accompagnant nos clients grands comptes sur leurs sites de production à l’étranger. En 2015 MGA Technologies a exporté plus de 50% de ses fabrications. Notre haut niveau de savoir faire participe pleinement de cette progression des fabrications exportées.

Vous avez été élu Président des CCE en Rhône Alpes en 2015. Qu’est ce qui motive ce mandat au service des entreprises à l’international ?

J’ai eu la chance de travailler dans plus de 85 pays durant ma carrière professionnelle. Je suis convaincu des atouts des industries françaises sur les métiers à forte valeur ajoutée. Je souhaite partager mon expérience auprès des pouvoirs publics, des entreprises et des jeunes et, surtout, soutenir les entrepreneurs français désireux de vendre leurs produits et solutions à l’étranger. C’est notre principale mission.

Pour remplir la mission que nous confie le Premier Ministre lors de notre nomination, nous intervenons auprès des acteurs publics en leur apportant nos conseils dans le but d’aider les entreprises à s’internationaliser. Nous parrainons les entreprises dans leur conquête de nouveaux marchés. Concrètement, un chef d’entreprise de notre région qui souhaite mener une action dans un pays étranger pourra bénéficier de l’aide et des conseils d’un de nos 130 Conseillers rhônalpins dans le pays ciblé.

Avec 4 000 Conseillers du Commerce Extérieur de la France dans le monde, nous sommes présents dans 146 pays, c’est aussi çà la force de notre réseau. Nous nous intéressons tout particulièrement aux jeunes et soutenons les formations à l’international.

Enfin, nous travaillons à renforcer l’attractivité de notre territoire. Lors de nos déplacements à l’étranger, nous sommes attentifs à rencontrer les investisseurs potentiels et nous les incitons à choisir notre région pour s’implanter.

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Pénibilité : les employeurs publics auto-exonérés ?

Les employeurs du secteur privé ont procédé aux déclarations

Non sans mal et avec beaucoup de persévérance, la plupart des entreprises privées ont réussi à effectuer les déclarations relatives aux 4 premiers facteurs de risques professionnels :

  • Activités exercées en milieu hyperbare
  • Travail de nuit
  • Travail en équipes successives alternantes
  • Travail répétitif.

Elles devront prendre en compte, à compter du 1er juillet, 6 nouveaux facteurs, pour certains encore plus complexes à mesurer :

  • Manutentions manuelles de charges
  • Postures pénibles
  • Vibrations mécaniques
  • Agents chimiques dangereux
  • Températures extrêmes
  • Bruit

Les employeurs publics n’ont pas respecté leurs obligations

Alors que les employeurs publics auraient du, eux aussi, procéder aux déclarations obligatoires en janvier 2016, un récent rapport de l’inspection générale de l’administration et de l’inspection générale des affaires sociales nous révèle que ces obligations n’ont pas été respectées.

Comme l’écrit le Président SAUBOT dans deux courriers adressés le 27 juin à la ministre des affaires sociales, de la santé et du droit des femmes et à la ministre du travail, de l’emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social, « une telle disparité de situation entre employeurs publics et employeurs privés n’est pas acceptable au regard du principe d’égalité des citoyens devant la loi ».

L’UIMM demande un moratoire

En conséquence, METALLURGIE rhodanienne et le réseau de l’UIMM demandent un moratoire pour l’entrée en vigueur des 6 nouveaux facteurs. D’une part, pour permettre aux employeurs publics de se mettre en conformité et, d’autre part, pour donner le temps aux pouvoirs publics de réviser les nouveaux facteurs qui le nécessitent.

Gérard CARIOT

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JTEKT, nouveau centre d’essais véhicules à Irigny

Centre d'essais JTEKT Irigny

Les nouvelles installations inaugurées le 11 juillet comprennent trois plateformes d’une surface de 59 000 m² : la “ Plateforme dynamique ” totalement plane pour réaliser des essais à grande vitesse,  la “ Plateforme vibro-acoustique ” recouverte de pistes pavées pour réaliser des essais vibro-acoustiques et la “ Plateforme faible adhérence ” qui permet de réaliser des essais de conduite sur glace. L’ investissement s’est élevé à 2,5 millions d’euros.

Ces nouvelles installations permettent la réalisation des essais sur véhicules pour la mise au point et la validation des systèmes de direction.